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le blog de karim

11 août 2018

récitation de la thora

https://www.youtube.com/watch?v=MPZhFy2c3Mc&list=PLlQFlqydZSIU8nHDtlcluOaAD0ST0Aa1e                en copier coller vous permettra d'accèder a la récitation de la thora qui est la seule religion des anges.

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15 juillet 2018

un moteur de recherche biblique fort utile

QUOI que vous cherchiez dans la bible vous le trouverez grace a l'adresse electronique suivante  : http://www.lirelabible.net/chercher_mot.php?recherche=enseignement%20biblique    . bonnes recherches !

14 juillet 2018

la schizophrénie est elle héréditaire ?

Jean-Marie Danion, directeur de l'unité Inserm  Physiopathologie et Psychopathologie cognitive de la schizophrénie, à l'université de Strasbourg, a répondu.

Débutant généralement entre 15 et 25 ans, la schizophrénie associe en proportion variable un délire, des hallucinations (la personne entend habituellement des voix), une désorganisation du comportement et de la pensée et un repli sur soi. Elle s'accompagne d'une souffrance psychique, parfois intense, chez le patient mais aussi dans son entourage, et d'un véritable handicap -le handicap psychique- caractérisé par des difficultés dans la vie quotidienne et l'insertion sociale et professionnelle.

La schizophrénie est-elle héréditaire? Comme tout ce qui a trait aux maladies mentales, cette question est sensible, d'autant plus qu'elle concerne une maladie dont la survenue dans une famille suscite toujours un questionnement angoissé et douloureux sur son origine. L'époque où l'on culpabilisait profondément les parents en les accusant d'être de «mauvais» parents, et d'être ainsi responsables de la maladie de leur enfant, est heureusement révolue. Mais la question du caractère héréditaire de la schizophrénie peut faire surgir une autre forme de culpabilité, celle d'avoir légué à son enfant de «mauvais» gènes, qui seraient la cause de la maladie.

Cette culpabilité n'est pas plus justifiée que la précédente. Si l'existence chez certains patients d'une composante génétique est aujourd'hui démontrée, les nombreuses études sur les antécédents familiaux des patients, ainsi que les études de jumeaux et de sujets adoptés, qui permettent d'évaluer le poids respectif des facteurs génétiques, familiaux et environnementaux, témoignent d'une réalité beaucoup plus complexe et nuancée. Ainsi, alors que dans la population générale environ une personne sur 100 souffre de schizophrénie, chez les adultes dont un des parents est malade, 7 sur 100 risquent d'être atteintes. Dans la population des personnes dont les deux parents sont schizophrènes, 27 personnes sur 100 sont susceptibles d'être touchées. Alors que chez les frères, sœurs et faux jumeaux des patients schizophrènes qui n'ont que la moitié de leurs gènes en commun, le risque est de 10%, il atteint 50% chez les vrais jumeaux, qui ont un génome quasi identique.

Il existe donc bien une composante génétique de la maladie. Mais le fait que le risque de devenir schizophrène chez les vrais jumeaux soit de 50%, et non de 100%, montre également que la schizophrénie n'est pas une maladie héréditaire au sens commun de ce terme: être porteur de cette composante génétique ne signifie pas que l'on va nécessairement devenir schizophrène. Cela signifie que l'on a un risque accru de développer une schizophrénie, que l'on a une susceptibilité ou une vulnérabilité particulière vis-à-vis de cette maladie du fait de gènes dits «de vulnérabilité», bien loin de la notion de «mauvais» gènes. En clair, des facteurs autres que génétiques doivent être présents pour que la maladie survienne. Si de nombreux gènes de vulnérabilité ont été suspectés, seuls un petit nombre d'entre eux ont pu être confirmés par plusieurs études scientifiques indépendantes au plan international. Ils ont en commun d'être impliqués dans le développement et le fonctionnement du cerveau. Enfin, de très récentes études suggèrent que la vulnérabilité génétique de la schizophrénie serait en partie partagée avec une forme particulière de troubles de l'humeur, le trouble bipolaire (anciennement appelé psychose maniaco-dépressive).

Interactions

Parmi les facteurs non génétiques augmentant le risque de schizophrénie, certains interviennent très précocement, dès la vie fœtale ou la naissance. Le risque est ainsi augmenté chez les personnes nées d'une mère ayant souffert d'une maladie infectieuse ou métabolique, d'un état de malnutrition ou de stress excessif durant la grossesse, ou ayant eu un accouchement difficile à l'origine d'une hypoxie de l'enfant. Ces facteurs ne sont cependant en cause que dans un petit nombre de cas. Des traumatismes psychologiques graves survenant dans l'enfance sont également incriminés. L'isolement social consécutif à l'urbanisation et à l'immigration peut aussi contribuer au développement de la maladie. Enfin, il est aujourd'hui établi que la consommation de cannabis augmente le risque de développer une schizophrénie, et ceci d'autant plus que la consommation est importante et qu'elle débute tôt dans l'adolescence.

Les recherches s'orientent dorénavant vers l'analyse des interactions entre les gènes de vulnérabilité et les facteurs non génétiques: c'est la rencontre entre des facteurs de risque et un terrain génétiquement vulnérable, précisément pour ces facteurs, qui expliquerait au mieux le développement de la maladie. Il est ainsi hautement vraisemblable que la schizophrénie résulte d'interactions multiples et complexes entre des facteurs biologiques, psychologiques et sociaux, dont les effets sont d'autant plus importants qu'ils interviennent, lors de l'enfance et de l'adolescence, dans une dynamique de développement du cerveau et de construction de la personnalité. Ces facteurs se conjuguent pour perturber cette dynamique et altérer la communication entre les différentes régions du cerveau, ce qui pourrait constituer la voie finale commune de la schizo­phrénie. La nature et le poids respectif de ces facteurs varient d'un patient à un autre, ce qui expliquerait la diversité clinique et la gravité variable de la maladie.

Les querelles sur l'origine exclusivement biologique, ou à l'inverse exclusivement psychologique, de la schizophrénie n'ont donc aujourd'hui plus lieu d'être.

26 juin 2018

une musique bienfaisante

faite un copier coller de l'url suivante et  passer un moment inoubliable : https://www.youtube.com/watch?v=4-JFyfzKQlw&t=705s 

20 janvier 2018

la passiflore et jésus

pour découvrir les merveilles du Créateur faites un copier coller de l'url suivante : http://www.ktotv.com/video/00082197/pourquoi-

28 février 2011

Au nom d’Allah le Tout Miséricordieux le Très Miséricordieux

« Crucifixion ou Crucifiction ? »

par Ahmed DEEDAT, Spécialiste des Religions

Ouvrage de Notre Frère Ahmed Deedat Que Allah lui fasse Miséricorde

 

http://www.ahmed-deedat.co.za

http://islam.verite.free.fr/ahmed%20deedat/

Tout les Livres et Débats sur le territoire français de Ahmed Deedat traitant avec les Juifs et Chrétiens, et l’Islam on été Interdite par l’état du Taghout Français Maçonnique car les gouverneurs mécréants Athée et Luciférien de France sont effrayaient à l’idée qu’un jour le peuple français manipulé par la laïcité maçonnique puissent ce réveiller un jour des ténèbres à la lumière !

Correction et Commentaire Ribaat

Jésus (as) : ‘Alayhi salam : paix sur lui

Citation Ahmed Deedat :


LES ORIGINES DE LA CRUCIFIXION

La crucifixion fut bien longtemps le moyen utilisé afin de se débarrasser des prisonniers politiques, des meurtriers, des rebelles. Bien avant Jésus (as), les Phéniciens ont cherché d'autres méthodes d'extermination. Ainsi ils usèrent de la pendaison, de l'empalement, de la lapidation, de la noyade, etc… Mais, selon eux, ces méthodes étaient trop rapides. Alors ils inventèrent la crucifixion, un procédé qui assurait une mort "lente".

DEUX METHODES DE CRUCIFIXION

Les romains utilisèrent ce système et le perfectionnèrent. Ainsi, ils renvoyèrent une crucifixion ayant comme conséquence une mort "rapide " et une mort "lente".

Les tableaux des grands maîtres chrétiens (Michel-Ange, Rembrandt, Léonard de Vinci, …) révélant leurs troubles face à certaines scènes. Ainsi, le tableau qui représente les deux brigands crucifiés avec Jésus, l'un à sa gauche et l'autre à sa droite, fait ressortir que ces derniers "bénéficièrent" de la méthode dite "rapide", alors que Jésus*, lui fut crucifié par la voie "lente".

(*) Ribaat : Selon les Chrétiens,

ENTRONS DANS LE VIF DU SUJET !

Selon les auteurs des Evangiles, Juifs et romains firent de la sorte que Jésus (as) soit crucifié à la 6éme heure (Matthieu 24 : 46), c'est à dire à midi et qu'il soit mort à la 9ème heure, soit à 15 heures. Dés qu'ils eurent constaté sa mort, ils marquèrent autant d'empressement à le faire descendre de la croix qu'ils n'en avaient marqué pour le crucifier. Savez-vous pourquoi ? Uniquement, leurs scrupules religieux : le Sabbat ! Le 5ème livre de Moise ne les met ils pas en garde :

" Son cadavre ne passera pas la nuit sur le bois ; mais tu l'enseveliras le jour même, car celui qui est pendu est un objet de malédiction auprès de Dieu et tu ne souilleras pas le territoire que l'Eternel, ton Dieu te donne pour héritage. " (Deutéronome 21 : 23).

S'il était nécessaire d'accélérer la mort du crucifié, les exécuteurs faisaient usage alors du "cruci-fragium ", un gourdin avec lequel ils brisaient les jambes. La victime mourait alors par suffocation en moins d'une heure. C'était une des méthodes rapides utilisées.

LA PRIERE DE JESUS

Jésus eut-il une réponse à sa prière ? Il supplia son Père dans les cieux afin qu'il l'aide :

" En proie à l'angoisse, il priait plus instamment, et sa sueur devint comme des grumeaux de sang, qui tombaient à terre. " (Luc 22 : 44)

Que peut-on espérer d'une prière aussi sincère et l'un des quatre frères (Les chrétiens attribuent à Jésus des frères et des sœurs, nés de l'union de Marie et de Joseph, le charpentier. [Matthieu 13 : 55-56 ) de Jésus nous rappelle :

" La prière agissante du juste a une grande efficacité. " (Jacques 5 : 16).

  DIEU ACCEPTA LES PRIERES DE JESUS

Paul * confirme que les prières de Jésus ne furent pas vaines :

" C'est lui, qui dans les jours de sa chair, offrit à grands cris et avec larmes, des prières et des supplications à celui qui pouvait les sauver de la mort. Ayant été exaucé à cause de sa piété il a appris. " (Hébreux 5 : 7)

(*) Ribaat : Paul, l’Imposteur qui n’a jamais rencontré Jésus de sa vie, Paul est un Allié de Satan !

Que signifie en réalité " Dieu entendit " ses prières ? Dieu accepte ses prières ! Car Dieu n'est pas sourd, il est celui qui entend tout.

Il a entendu (accepter) la prière de Jésus comme il le fit pour Abraham. En effet, Abraham pria pour avoir un fils et il eut Ismaël, alors qu'il était âgé. Les paroles d'Abraham prirent forme humaine. D'ailleurs, "Ismaël" signifie littéralement "dieu entendit" en hébreux. Il en fut de même pour Zacharie qui pria pour avoir un fils et Jean le Baptiste naquit. A présent, c'est un appel à l'aide que formule Jésus et Dieu l'entend :

"Alors un ange lui apparut du ciel, pour le fortifier." (Luc 22 : 43)

Le fortifier dans sa foi, afin que Dieu le sauve. N'est-il pas ce qu'il souhaite que Dieu fasse pour lui ? Son sort est entre les mains de Dieu, mais Ses voies ne sont pas toujours les nôtres.

VOYONS CE QUI EST FAVORABLE A JESUS

1) Un geste du ciel.

2) Pilate ne le condamne pas lors du procès (Jean 19 : 12)

" …Pilate cherchait à le relâcher. Mais les Juifs crièrent : Si tu le relâches, tu n'es pas un ami de César. Quiconque se fait Roi se déclare contre César. "

3) La femme de Pilate fait un rêve prémonitoire qui assure qu'aucun mal ne sera fait à Jésus.(Matthieu 27 : 19)

Alors que le procès se poursuivait, la femme de Pilate lui fit parvenir le message suivant : "Ne te mêle pas de l'affaire du juste, car aujourd'hui, j'ai beaucoup souffert en songe à cause de lui "

4) Pas de jambes cassées !

S'ils ne lui cassèrent pas les jambes, c'était afin de respecter une prophétie :

" Il garde tous ces os. Aucun d'eux n'est brisé. " (Psaumes 34 : 21)

Si les os n'avaient pas été brisés, cela n'auraient pu être profitable que si la personne était en vie ! Un mort aux membres intacts n'a pas de sens. Qu'il ait été découpé en morceaux, écrasé, ne fait aucune différence pour le ressuscité, pour l'esprit. Mais en ce qui concerne des crucifiés, comme les compagnons de Jésus sur la croix, avoir ou non les jambes cassées, là est toute la différence. Cela signifie être vivant ou mort ! Les païens romains qui n'avaient aucune crainte de l'enfer, n'avaient aucune raison de respecter la prophétie sinon "qu'en le voyant déjà mort, ils ne lui brisèrent pas les jambes. " (Jean 19 : 33)

" Voyant " : un mot très simple. Mais qu'on t-ils vu ? Cela se rapporterait il aux paroles du Christ : " Vous regarderez bien et vous ne verrez point. "(Matthieu 13 : 14). En fait, Jean admet que les soldats ont plutôt soupçonné que "vu". Aucun stéthoscope n'ausculta Jésus, personne ne toucha son corps, ni ne prit son pouls pour constater sa mort. Faut-il interpréter le mot "voir " comme une autre possibilité de salut de la part de Dieu ?

5) La hâte exprimée à le descendre de la croix.

DE LA COMPASSION POUR JESUS

Dieu agit de façon mystérieuse. Il pousse les soldats à croire qu'il est « déjà mort " afin qu'il n'est pas les jambes cassées. Il les pousse aussi à lui percer le coté avec une lance et "aussitôt il sortit de l'eau et du sang " (Jean 19 : 34)

Il est heureux qu'il est perdu conscience alors qu'il endurait des souffrances atroces. L'immobilité, la fatigue et la position sur la croix ont dû affaiblir sa circulation sanguine. La lance le sauva. La saignée ainsi provoquée permit à la circulation sanguine de reprendre son rythme. L'encyclopédia Biblica au mot "cross" ("croix") colonne 960, confirme que "jésus était vivant quant la lance fut jetée". Ceci vient confirmer la déclaration de Jean : " L'eau et le sang " coulèrent instantanément. Il utilise le terme "aussitôt" ce qui prouve que Jésus était vivant !

Pourquoi de "l'eau et du sang" ? Le Dr W.B. Primerose, anesthésiste en chef à l'infirmerie Royale de Glasgow, répond dans le " Thinkers Digest ", Londres, dans le numéro de l'hiver 1949. Il dit alors " l'eau n'est que la conséquence du choc nerveux subi par les vaisseaux sanguins et causés par la flagellation qui a entraîné un effet de stimulation local." Ceci est un cas unique qui explique qu'il suait : " des grumeaux de sang qui tombaient à terre " alors qu'il était en proie à l'angoisse dans le jardin de Gethsémané. Les autorités médicales confirment également ce phénomène.

PILATE S'ETONNE

Les évangiles racontent qu'entre la 6ème et la 9ème heure, il y eu des coups de tonnerre, une éclipse et un tremblement de terre ! Sans aucune raison ? Non. Ainsi la foule sadique fut dispersée. Ainsi, ses disciples loyaux et secrets purent-ils venir à son secours.

Joseph d'Arimathe et le centurion romain qui s'était exclamé : " Cet homme est vraiment le fils de Dieu ". (Marc 15 : 39) se rendit chez Pilate afin de réclamer le corps de Jésus :

" Etonné qu'il soit déjà mort, Pilate fit appeler le centurion et lui demanda s'il était mort depuis longtemps. " (Marc 15 : 44)

Pourquoi Pilate était-il étonné ? Il savait par expérience qu'aucun homme ne mourrait en trois heures sur la croix, excepté avec l'usage du "cruci-fragium ", ce qui ne fut pas le cas pour Jésus, mais plutôt celui de ces compagnons, car eux étaient toujours vivants !

LA CAUSE DE SON ETONNEMENT

Un homme qui est passé par les hommes et qui meurt, cela n'a rien d'étonnant. Un homme qui est pendu et qui meurt, n'a rien d'étonnant. Mais un homme qui survit alors qu'il devrait être mort, cela est étonnant. Dans le cas de Pilate, celui-ci pensait que Jésus était toujours "vivant" sur la croix et non déjà mort comme lui annonçait le centurion. Alors il s'étonna, mais n'eut aucune raison de vérifier le décès. Et s'il était encore vivant ! Eh bien, ne l'a t-il pas déclaré innocent des charges qui pesaient sur lui ? Sa femme ne l'a telle pas mis en garde contre cet homme juste ? Ne l'a t-on pas fait chanter afin de céder à la clameur des juifs ? ( Matthieu 27: 24). Alors s'il était vivant … Pilate autorisa donc Joseph à retirer le corps.

LES DISCIPLES SECRETS

Les soi-disant disciples secrets de Jésus, qu'il appelait "ma mère et mes frères " (Matthieu 12 : 49) (par distinction de sa propre mère et ses frères de sang) étaient de retour. Ses disciples "secrets ", Joseph d'Arimathe et Nicodemus n'auraient jamais été cités, s'il ne s'était agi de l'ordalie de Jésus. Ils étaient seuls à porter le corps de Jésus avec Marie-Madeleine et l'autre Marie (Marc 15 : 47 ; la mère de Jacques) comme spectatrice. Il fut fait de sorte que les scrupules des juifs fussent calmés. Ainsi, le bain mortuaire, l'embaumement et le suaire furent préparés deux heures avant la mort de Jésus. S'il y avait encore quelques signes de vie dans ce corps inerte, personne ne s'aventurerait, cependant à le crier : " Il est vivant ! Il est vivant ! " Car ils savaient tous que les juifs se seraient alors assurés qu'aucun souffle de vie ne parcourait plus ce corps.

LA SUSPICION ET L'INQUIETUDE DES JUIFS

Les Juifs devinrent soupçonneux. Tout cela semblait par trop étrange.

a) La tombe sans accès facile.

b) Les disciples "secrets" qui viennent aider.

c) Ses "compagnons de croix " toujours en vie.

d) Ses jambes qui ne furent pas cassés, alors que celles de ses compagnons le furent !

e) L'autorisation de retirer le corps obtenu facilement et si rapidement auprès de Pilate.

Tout cela éveilla quelques soupçons chez les juifs. Ils se sentirent dupés. Jésus était vivant ! (?). Ils se rendirent donc en toute hâte chez Pilate, mais trop tard !

" Le lendemain… les principaux sacrificateurs et les Pharisiens allèrent ensemble trouver Pilate, et dirent : Seigneur, nous nous souvenons que cet imposteur a dit "ordonne donc qu'on s'assure du sépulcre jusqu'au troisième jour, … cette dernière imposture serait pire que la première " ". (Matthieu 27 : 62-64)

Les juifs parlent de "première" et "dernière" erreur, mais dans leur hâte n'ont-ils pas eux aussi commis une erreur ! Pilate n'écouta pas leurs enfantillages. Il les renvoya donc :

" Vous avez une garde, allez, assurez-vous (de lui) comme vous l'entendez. " (Matthieu 27:65).

Il se refusa à céder à leur caprice. D'ailleurs, n'avait-il pas plus de raisons de les haïr, que de les aider ?

Peu importe ce que firent les juifs. Le fait c'est qu'il avait perdu une journée !

Quelle est la "première erreur" commise par les Juifs ? Je dirai qu'ils permettent que Jésus soit descendu de la croix, sans qu'il ait eu les jambes cassées, et le laissant pour mort. La "dernière erreur" serait d'avoir autorisés ses disciples "secrets" à aider Jésus en ne fermant pas la tombe. Mais entre ces deux extrêmes, ils commirent une autre erreur celle de se rendre chez Pilate, le "lendemain". C'était déjà trop tard !

« Et ils [les autres] se mirent à comploter. Allah a fait échouer leur complot. Et c'est Allah qui sait le mieux leur machination ! »(Coran Sourate 3 verset 54).

DIMANCHE MATIN

C'était dimanche matin, le premier jour de la semaine, selon les hébreux (samedi, jour de Sabbat en est le 7ème jour) lorsque Marie-Madeleine seule se rendit sur la tombe de Jésus. (Marc 16 : 9 et Jean 20 : 1)

La question se pose de savoir pourquoi elle se rendit sur sa tombe ? Marc (16 : 1) répond : " afin d'aller l'embaumer ". Le terme hébreu pour "embaumer" est "masaha" qui signifie "frotter, masser, embaumer". La seconde question qui se pose est :

Les juifs massent-ils les personnes mortes depuis trois jours ? La réponse est NON ! De même pour les chrétiens et les musulmans. Alors pourquoi une juive masserait-elle un mort, un corps en décomposition ? D'ailleurs, quiconque frotterait ce corps, le verrait partir en morceaux. Donc, l'embaumement n'a plus de sens !

Il est certain, pourtant que si Jésus était vivant, cela aurait eu un autre sens. Marie-Madeleine était la dernière, avec Joseph d'Arimathe et Nicodemus, à avoir approché Jésus après sa mort. Lorsque Jésus fut descendu de la croix, a-t-elle remarqué en lui quelque signe de vie ? Dans l'affirmative, il est plus que probable qu'elle se serait bien de garder de crier " Il est vivant !". Elle retourne s'occuper de Jésus deux nuits et un jour après sa mort, juste après le Sabbat juif.

LA PIERRE FUT BOUGEE

Elle fut très surprise de constater que quelqu'un avait déjà bougé la pierre. Elle regarda dans la tombe et vit que le suaire était roulé. Une foule de questions se pose. Pourquoi la pierre avait elle été bougée ? Un être qui a su vaincre la mort, et qui est donc ressuscité, a t-il besoin de bouger la pierre pour sortir de la tombe ? A t-il besoin de défaire son suaire pour se mouvoir ? Pour tout corps spirituel, n'est il pas vrai que les murs ne font pas la prison, ni les barreaux la cage. ?

Ceci indique qu'en fait c'est un corps physique qui s'est ressuscité ! La vue de la tombe vide fut plus qu'elle ne supporter : elle s'effondra en proie à une crise d'hystérie [Jésus a déjà chassé de Marie-Madeleine "sept démons "(Marc 16 : 9)] et pleura. Jésus veillait toujours sur elle, non pas des cieux, mais sur terre.

Cette tombe appartenait à Joseph d'Arimathe (un riche et influent juif) qui avait les moyens financiers de faire creuser une chambre aussi grande dans les rochers. Cette tombe était entourée par son potager. Ne croyait pas que ce juif plantait, par plaisir, des légumes à 8 km de la ville. Peut être était-ce les potagers de ses jardiniers ou les jardins de sa résidence secondaire ?

UNE PLAISANTERIE A LA LIMITE DU POSSIBLE

Jésus est là ! Il regarde cette femme. Il sait qu'elle est et pourquoi elle est là. Il approche d'elle, et voit qu'elle pleure. Alors il lui demande :

" Femme, pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? " (Jean 20 : 15)

Une remarque s'impose. Pourquoi Jésus pose t-il des questions aussi stupides ? Ne connaît-il pas déjà les réponses ? Si, bien sûr ! Alors, pourquoi ces questions ?

En fait ces questions ne sont pas aussi stupides. Il sait qu'elle le recherche, et qu'elle est déçue de ne pas l'avoir trouvé, ce qui explique ces larmes. Son apparence physique est si différente, qu'elle ne peut le reconnaître. Se moquerait-il d'elle, alors au travers de ces questions ? Décrivant cet incident, Jean parle de Marie-Madeleine en ces termes : " Pensant que c'était le jardinier, elle lui dit. " Pourquoi pense t-elle que c'est le jardinier ? Je ne pense pas que les ressuscités ressemblent à des jardiniers ! Alors pourquoi cette ressemblance ? Car il est déguisé en "jardinier" ! Mais pourquoi ? Car il craint les juifs ! Pourquoi cette peur ? Car il n'est pas mort et n'a pas vaincu la mort ! S'il était mort et avait vaincu la mort, alors il n'aurait plus de raison d'avoir peur. Un corps ressuscité ne meurt pas deux fois ! " …Il est réservé aux hommes de mourir une seule foi. " (Hébreux 9 :27).

LE DRAME SE POURSUIT

Marie-Madeleine s'adresse donc à Jésus, qu'elle n'a pas reconnu :

" Si c'est toi qui L'as emporté, dis-moi où tu L'as mis… " (Jean 20 : 15)

Elle ne cherche pas le corps, elle cherche Lui et elle s'enquiert : Ou l'as tu mis ? Sous-entendant pour se reposer, et non pas en terre.

" …Je le prendrai ". (Jean 20 :15)

Le prendre où ? Que veut-elle faire d'un mort ? Elle ne pourrait que l'enterrer. Qui creuserait la tombe ? Porter un corps de 75 kg ne serait pas une tâche aisée pour une frêle juive. D'autant qu'il faudrait ajouter à ce poids, environ 40 kg de plantes aromatiques (selon Jean 19 : 39) ce qui fait un poids de 115 kg à porter. Porter serait une chose, enterrer en serait une autre. Il lui faudrait de descendre dans la fosse. Cela n'a pas de sens !

La plaisanterie que Jésus fait à Marie-Madeleine est trop lourde de conséquences. Elle ne l'a pas reconnu et il rit sous cape. Il se trahit : Marie ! Un seul mot ! Ce fut assez. Ce seul mot "Marie ! " En disait plus que bien des phrases. Elle reconnut son Maître. Chacun possède un signe distinctif pour appeler celle qui lui est chère. Ce ne fut pas le mot " Marie " en lui-même, mais plutôt l'intonation avec laquelle il fut prononcé qui lui fit répondre : " Maître ! Maître ! ".Sa joie éclata. Elle se précipite sur son Maître pour lui rendre hommage. Jésus lui dit alors :

" Ne me touche pas " (Jean 20 : 17)

Pourquoi ? Tout simplement, bien qu'il paraisse normal extérieurement, il ne faut pas oublier qu'il a traversé une épreuve physique et émotionnelle particulièrement violente. Cela lui serait donc affreusement douloureux si elle touchait Jésus. Puis il poursuit :

" Car je ne suis pas monté vers mon Père ". (Jean 20 : 17)

Elle n'est pas aveugle. Elle voit l'homme qui se tient debout, devant elle. Que veut-il dire par "pas encore monté " alors qu'il était enterré ici même ? Ce qu'il tente alors de lui faire comprendre, c'est qu'il n'est pas encore ressuscité d'entre les morts. En langage juif : " Je ne suis pas encore mort ". Il dit : " Je suis vivant ! ! ! "

" Quand ils (disciples) entendirent qu'il vivait et qu'elle (Marie-Madeleine) l'avait vu, ils ne la crurent pas ". (Marc16:11).

LES DISCIPLES INCREDULES

Le même jour, sur la route qui mène à Emmaüs, Jésus rencontra deux de ces disciples et s'entretint avec eux sans qu'ils ne l'aient reconnu ! Arrivés à destination, les disciples persuadèrent le Maître de se joindre à eux pour le repas.

" Pendant qu'il était à table avec eux, il prit le pain, dit la bénédiction, puis le rompit et leur donna ". (Luc 24 : 30)

« Leurs yeux s'ouvrirent » lorsqu'ils le virent rompre le pain. Etaient-ils donc aveugles pour ne pas l'avoir reconnu avant ? Non, pourtant les disciples ne le reconnurent qu'à cet instant précis! Luc poursuivit : lorsqu'ils l'eurent reconnu « il disparut devant eux ». Il ne disparut pas réellement. Cela signifie qu'il partit. Il sortit de leur champ de vision.

Exaltés, les deux disciples, rejoignirent les autres disciples :

" Ils revinrent eux aussi l'annoncer aux autres qui ne les crurent pas non plus ". (Marc 16:13)

Que se passe t-il avec les disciples de Jésus ? Pourquoi sont-ils si réticents à croire ? D'où vient cette difficulté ? Le fait est qu'ils sont confrontés à l'évidence que Jésus est vivant, et non ressuscité (immortalité). Il est le même Jésus, physiquement, dans sa chair et ses os. Et il prend son repas ! Ils ne peuvent le croire. Si Marie-Madeleine leur avait dit qu'elle avait vu le fantôme de Jésus, ils l'auraient cru. Tout comme d'autres les auraient crus s'ils avaient dit avoir vu Jésus. N'avaient ils pas vu des esprits entrer dans des pourceaux et ceux-ci se précipiter vers la mort ? (Marc 5 : 13). N'avaient ils pas vu aussi des esprits entrer dans les arbres et les sécher jusqu'aux racines ? (Marc 11 : 20). N'avaient ils pas vu aussi chasser les sept démons de Marie-Madeleine ? (Marc 16 : 9). Mais tout ceci est naturel à leur âge ! Ils pouvaient croire tout ceci à cette époque là et à leur âge ! Mais Jésus vivant ? Un Jésus bien physique ? Jésus qui auraient échappé aux liens de la mort ? (Actes 2 :24). Tout ceci était bien trop pesant pour "ces gens de peu de foi " [Matthieu (6 : 30) ; (8 :26) ;(14 :31) ;(16 :8) et Luc (12 :28)].

a) Marie-Madeleine témoigne que Jésus est vivant !

b) Les disciples de Emmaüs témoignent que Jésus est vivant !

c) Des anges ont déclaré que Jésus est vivant ! (Luc 24 :23).

d) Deux hommes se présentèrent aux femmes " Pourquoi cherchez-vous le ''vivant'' parmi les ''morts'' ? Il n'est pas ici, mais il est ressuscité ". (Luc 24 : 4-5)

  Et pourtant ils ne croient pas ! Voyons s'ils croient les paroles de leur propre Maître et « Seigneur » ?

UNE ENIGME ARYTHMATIQUE

Ceux d'Emmaüs "se levèrent…retournèrent à Jérusalem et trouvèrent assemblés les onze et leurs compagnons "(Luc 24 : 33). Quel onze ? " Ils trouvèrent… les onze ". Parmi ces onze étaient-ils eux-mêmes inclus ? Ils ne pouvaient être plus de dix, car à la première visite de Jésus à la salle du repas, Judas et Thomas étaient absents. Luc ne fut pas témoin de cette constatation, et il ne fait que copier les propos de Marc 16 : 14 qui rapporte qu' " Il (jésus) se montra aux onze pendant qu'ils étaient à table … ".

Voyons à présent la version de Paul, le 13ème apôtre de Jésus. Il raconte après trois jours d'hibernation "(Jésus) a été vu par Céphas (Simon Pierre), puis par les douze"(1Corinthiens 15 : 5). Quel douze ? Le terme "puis" ici semble indiquer que Pierre en est exclu ! Même en l'intégrant, vous n'arrivez pas au total de "douze élus", car déjà Judas s'est donné la mort (il s'est pendu) (Matthieu 27 : 5) bien avant que Jésus ne ressuscite.

Il s'agit ici d'une problématique complexe où onze ne signifie pas onze (Luc 24 : 3) et où douze ne signifie pas douze. Et d'ailleurs trois et trois font deux et un. Jésus compatirait sans doute de nous savoir confronter à ces problèmes, car "il te serait dur de regimber contre les aiguillons ". [Actes 9 : 5 (Paul dit que ces paroles lui furent dictées par Jésus en Hébreu : Actes 26 : 14)].

L'ENTREE DE JESUS

Alors que les deux disciples font le récit de leur rencontre avec un Jésus bien "matériel", qui se trouvait d'ailleurs parmi eux, "jésus vint" Les portes avaient été fermées par crainte des juifs. Les polémistes chrétiens préfèrent l'expression "debout parmi eux " (Jean 20 : 19, 24 et 26 ; le terme "vint ", "vint ", "vint " est une contradiction au fait qu'il leur apparut, qu'il se matérialisa). Il disparut d'Emmaüs pour reparaître à Jérusalem, tel "l'homme invisible" ou "Star treck" des films de science fiction où les héros s'évanouissent et réapparaissent sur d'autres planètes, ou dans d'autres lieux. Si vous voyez de vos yeux, des personnes qui disparaissent pour se matérialiser ailleurs, alors je pense que vous avez fumé un joint et que vous regardez trop la télévision.

LE LIEVRE ET LA TORTUE

Mais Jésus fut-il si lent à se rendre à la salle du repas ? Il s'est déjà évanoui avant que les deux disciples n'aient atteint Jérusalem ! Il lui fallut bien du temps pour venir. Cela n'est pas sans rappeler la fable du lièvre et de la tortue. S’est- il arrêté sur le chemin, afin de penser ces blessures ?

Les dogmatiques envisagent la possibilité d'un Jésus flottant de place en place, apparaissant ici et là. Jeffrey Hunter, qui tenait le rôle de Jésus Christ dans le film "le Roi des Rois", fit d'ailleurs une remarque justifiée alors qu'il jouait la scène de la "tentation". Alors qu'il soufflait, souffrait, suait et haletait pendant l'ascension du mont Sion, il s'exclama : « C'est la première fois de ma vie que je ressens combien Jésus était humain ! »

Ni Luc, ni Jean ne racontèrent cet épisode de la visite de Jésus à la salle des repas, ne racontèrent qu'il suait lorsqu'il apparut à travers le trou de la serrure et à travers les fissures du mur. Pourquoi ne nous l'avoir pas dit ? La question subsiste : Comment a t il fait pour entrer alors que les "portes étaient fermées " (Jean 20 : 19). N'est-il pas surprenant que Luc 24 : 36,qui rapporte aussi cet événement, ne précise pas que les "portes étaient fermées ". Etait-ce sans importance à ses yeux ? Pourquoi ? Cela était-il hors de propos ? Ou voulait-il tout rechercher exactement depuis les origines pour l'exposer d'une manière suivie (Luc 1 : 3)

LA SALLE DU REPAS

Celle-ci est appelée "la chambre des hôtes" et "grande chambre haute" (Marc 14 : 14-15).C'est une des pièces de la maison. Faut-il le prouver ? Etait-ce la seule pièce à l'étage ? Gardons à l'esprit que cette pièce était meublée d'une grande table et de 14 chaises, pouvant accueillir 14 personnes. Tout ceci était destiné aux douze disciples et à Jésus, le malheureux treizième, ainsi qu'à Jean, le disciple que " Jésus aimait " (qui était le propriétaire de la maison) et qui "était couché à table près de Jésus ". Ainsi ils étaient quatorze.

Imaginez alors la table de cette "salle des hôtes " ! C'était un petit palais ! Jésus connaissait cette maison, car il avait visité bien des fois Jérusalem à l'occasion de la Pâque. Souvenez-vous de la façon dont il guida ses disciples la première fois ! (Luc 22 : 10)

Se peut-il que la chambre des hôtes de Jean n'ait qu'une seule entrée principale avec deux portes ? Etait-il nécessaire qu'elles soient toutes fermées ? Car en fait, seules les portes principales étaient utilisées par les visiteurs. Une personne bien élevée ne s'aventure pas dans les couloirs, sanitaires et appartements de ses hôtes ! Ils se contentent de l'hospitalité qui lui est accordée. Mais Jésus n'était pas un hôte, il était presque un membre de la famille du disciple qu'il aimait. Il ne frappait pas à la porte pour entrer. Si les disciples émirent quelque crainte, quelques doutes quant à son apparition devant eux, il les rassura bien vite.

" Que la paix soit avec vous, mais ils furent saisis de frayeur et de crainte ". (Luc 24 : 36-37).

DES REACTIONS OPPOSEES LORSQU'ILS RECONNAISSENT JESUS

Vous vous souvenez la réaction de Marie-Madeleine lorsqu'elle reconnaît Jésus près de la tombe ? Elle est en proie à l'hystérie, et Jésus lui interdit de le toucher. Mais, ces dix héros qui s'entraînaient aux sabres, à présent tremblent devant leurs Maîtres. Pourquoi ces réactions opposées ? Des hommes terrifiés et des femmes qui ne le sont pas. Tout simplement parce que les femmes ont vu ce qui se passait autour du calvaire, alors que les hommes n'y étaient pas. Donc les femmes avaient bien l'intention de voir Jésus vivant près de la tombe, alors que les hommes croyaient voir un fantôme. Luc décrit leur affolement ainsi :

" Saisis de frayeur et de crainte, ils pensaient voir un esprit " (Luc 24 : 37).

PEUR ?

Ils pensaient donc avoir devant eux, non-Jésus, mais son fantôme. Demandez à vos amis "revenants" pourquoi les disciples pensent voir un esprit ? Dites-leur : "Avait-il l'apparence d'un esprit ?" Et perdu autant qu'on puisse l'être, ils répondront : " Non". Alors pourquoi les disciples de Jésus croient-ils voir un esprit ? Il n'y a pas de réponse à cette question ! Ils restent muets.

Les disciples sont effrayés car il leur à été rapporté que Jésus avait été tué, attaché à la croix. Il avait été crucifié. Il leur fut rapporté aussi qu'il "avait rendu l'âme ", qu'il était "mort et enterré " depuis trois jours." TOUT CE QU'IL SAVAIT LEUR AVAIT ETE RAPPORTE ! !! " Car aucun d'eux n'avait vu ce qu'il advenait de Jésus au Golgotha à cet instant si pathétique :

" …TOUS L'ABANDONNERENT ET PRIRENT LA FUITE " (Marc 14 : 50).

LES VRAIS DISCIPLES

Marc évoque les "douze" élus. Il ne parle pas de ceux qui sont "dévoués" à Jésus, comme Jean qui reconduisit la mère de Jésus, ou Nicodémus et Joseph d'Arimathe, et des autres. Compte tenu de la conduite lâche des "douze", je considère que ces hommes méritent le titre de disciples. Ou Marc serait-il un menteur ? Lorsqu'il parle de tous, signifie t-il vraiment de "Tous" ? Marc énumère les femmes qui approchèrent Jésus. Parmi elles, figurent trois Marie et "le disciple que Jésus aimait". Cette phrase est citée plusieurs fois sans aucun rapprochement ne soit fait avec Jean, leur bienfaiteur à Jérusalem. Pourquoi ? S’agit-il alors de Jean, l'auteur du 4ème évangile ? Pourquoi ne pas le dire ? Il n'avait pas marqué beaucoup de réserve lorsqu'il avait demandé à Jésus "d'être assis à ta droite et l'autre à ta gauche dans ta gloire "(Marc 10 : 37). Cette réticence proviendrait-elle du fait que le "disciple aimé" soit un homonyme. Son nom pourrait être aux côtés de Jésus alors qu'il avait tant besoin d'eux, mais ils " l'abandonnèrent et prirent la fuite ". (Marc 14 :50)

JESUS N'EST PAS RESSUSCITE

Après les salutations d'usage "Shalom", Jésus apaisa ses disciples :

" Voyez (regarder) mes mains et mes pieds, c'est bien moi ; touchez-moi et voyez ; un Esprit n'a ni chair ni os, comme vous voyez que j'en ai. …il leur montra ses mains et ses pieds. " (Luc 24 :39-40)

Que voulait-il ainsi prouver ? Qu'il était ressuscité d'entre les morts ? Qu'il était un esprit ? Quel était le rapport entre ses pieds, ses mains et la résurrection ? " C'est bien moi ". Il insiste "un Esprit n'a ni chair ni os, comme vous voyez que j'en ai ". C'EST UNE EVIDENCE INCONTESTABLE ! Quiconque, qu'il soit hindou, musulman, chrétien, juif, athée ou libre penseur, sait "qu'un esprit n'a ni chair, ni os ".

POURQUOI INSISTER SUR CE QUI EST EVIDENT ?

Alors, pourquoi Jésus insiste t-il tant sur ce point ? Simplement afin de faire comprendre aux disciples qu'il n’est pas mort et ressuscité et que, par conséquent, il n'est pas un Esprit. Jésus tente de leur faire comprendre qu'il n'est pas un esprit, qu'il n'est pas ressuscité ! Ces versets sont d'une telle clarté qu'aucune explication supplémentaire n'est indispensable au lecteur. Vous, lecteur, pourquoi n'apprendriez-vous pas ce verset dans votre langue quelle qu'elle soit : anglais, arabe, zoulou ou afrikaans. Ainsi, vous pourriez répondre à tous les missionnaires que vous rencontreriez. Allah vous donne les moyens aujourd'hui de révéler les fantaisies intellectuelles des chrétiens.

UNE EXPLICATION VIVANTE : JE SUIS VIVANT !

Si je dis, dans ma langue "je suis fait de chair et d'os, je ne suis pas un esprit, je ne suis pas un fantôme, et je ne suis pas un spectre ! " Cela est-il clair pour vous ? Alors vous répondrez : Oui ! Ce raisonnement est valable pour tous les pays, n'est-ce pas ? En d'autres termes, Jésus disait à ses disciples : " Voyez mes mains et mes pieds afin " qu'ils voient, sentent et touchent son corps et se rendent compte qu'il n'avait rien de spirituel ! Ce n'était pas un corps métamorphosé, ni ressuscité, car un "corps" ressuscité devient spirituel.

QUI DIT CELA ?

Les polémistes demandent qui est l'auteur de cette affirmation : Réponse "Jésus" Où ? Dans l'évangile de Luc 20 : 27 - 36 et vous verrez alors … "Les juifs harcelaient Jésus de questions et de devinettes :

a) " Est-il permis, ou non, de payer le tribut à César ? "(Matthieu 22 : 17 )

b) " Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d'adultère. "(Jean 8 : 4 )

c) " … quel est le premier de tous les commandements ? "(Marc 12 : 28 )

Puis ils évoquent le problème de cette femme juive qui eut sept maris, selon une coutume juive. En effet, si un mari meurt et qu'il ne laisse aucun descendant, alors le second frère épouse la veuve afin d'assurer la descendance. S'il meurt à son tour, le troisième fait de même et ainsi de suite. Dans ce cas, soumis à Jésus, sept frères épousèrent cette femme ; tous moururent et elle aussi d'ailleurs. Le problème ne réside pas tant dans cette coutume car les frères l'épousèrent l'un après l'autre, mais plutôt dans ce qu'il adviendra de tous à la résurrection. Qui aurait cette femme, car ne l'ont-ils pas tous eu ? Les juifs tentent de prouver à Jésus que si tous ses frères ressuscitent en même temps que la femme, il y aurait un conflit entre eux au Paradis. Qui aurait cette femme au Paradis ? Jésus leur répond : "Ils ne pourront pas non plus mourir" : les ressuscités seront alors immortels et ne connaîtront plus le besoin de nourriture, d'abri, de vêtement, de sexe, de repos. "Ils seront semblables aux anges", ils seront spiritualisés, des créatures spirituelles, des esprits ! D'ailleurs, plus loin, il dit : "Un esprit n'a ni chair ni os, comme vous voyez que j'en ai un". Et je ne suis pas un esprit, ni un fantôme, ni un spectre, je ne suis pas ressuscité ! Je suis le même Jésus, Jésus vivant !

" Et en disant cela, il leur montra ses mains et ses pieds. " (Luc 24 : 40)

LA PEUR DES DISCIPLES S'ESTOMPE

" Dans leur joie, dans l'étonnement ", qu'aurait-il pu arriver aux disciples ? Ils le croyaient mort et il était parmi eux en chair et en os, avec tout ce qu'il y a de plus humain !

Afin de les apaiser encore, il dit : "Avez-vous ici quelque chose à manger ? Ils lui présentèrent un morceau de poisson grillé. Il le prit et le mangea devant eux. " Que voulait-il prouver par ce geste ? Qu'il était ressuscité ? Pourquoi ne pas dire la vérité au lieu de se prêter à tous ces jeux : l'examen de son corps, le poisson grillé ? Serait-ce un prétexte, un "leela" comme disent les Hindous ? Il y a 165 ans, Schlelier-macher répondait par la négative et Albert Schweizer dans son ouvrage "A la recherche de Jésus historique" cite : "Si le Christ a mangé uniquement afin de prouver qu'il pouvait manger, alors qu'il n'avait nul besoin de nourriture ,ce serait une simulation"

 

1

1- Jésus était plutôt réticent à mourir !

N'avait il pas développé toute une stratégie défensive pour repousser les juifs. Il voulait rester vivant !

2

2- Il implora Dieu de l'aider !

Avec forces et lamentations, il implora Dieu Tout Puissant de lui accordé la vie.

3

3- Dieu "entendit" ses prières.

Dieu exauça sa prière : qu'il soit vivant !

4

4- Un ange de Dieu lui apparut afin de le conformer.

Dans l'espoir et la foi en Dieu afin qu'il lui laisse la vie !

5

5- Pilate déclare Jésus innocent.

Une bonne raison pour que Jésus conserve la vie.

6

6- La femme de Pilate a fait un rêve prémonitoire dans lequel :

"Aucun mal ne sera fait à ce juste". En d’autres termes, il fallait le garder vivant !

7

7- Il resta sur la croix, seulement trois heures.

Aucun homme condamné‚ à la crucifixion ne mourrait aussi rapidement. C'est donc qu'il était vivant !

8

8- Ses deux compagnons de croix étaient encore vivants sur leurs croix.

Donc Jésus aussi devait être vivant !

9

9- L'encyclopedia Biblica -sous la rubrique croix, colonne 960 :

Dit que lorsque la lance fut jetée, Jésus était encore vivant !

10

10- Le sang et l'eau couleront aussitôt :

"Aussitôt", ce qui signifie que Jésus était encore vivant !

11

11- Ses jambes ne furent pas cassées, conformément à la prophétie.

Ses jambes ne pouvaient lui être utiles que lui vivant !

12

12- La tempête, le tremblement de terre et les ténèbres eurent lieu en moins de trois heures.

Tout ceci afin de disperser la foule sadique et de permettre à ses "disciples secrets" de l'aider à rester vivant !

13

13 - Les juifs doutèrent de sa mort :

Ils le soupçonnèrent de ne pas être mort sur la croix. Il était donc vivant !

14

14- Pilate s'étonne que Jésus soit déjà mort.

Car il savait par expérience qu'un homme crucifié ne meurt pas aussi vite. Il le soupçonna d’être encore en vie !

15

15- Une chambre vaste et aérée.

Facile d’accès, grande et aérée, pour ceux qui souhaitent lui venir en aide. La providence aussi était favorable à ce qu'il reste en vivant !

16

16- La pierre et le suaire furent bougés.

Cela n’avait de sens que si Jésus était vivant !

17

17- Compte-rendu sur le suaire :

Des scientifiques allemands qui firent des expériences sur le "suaire de Turin" déclarèrent que le cœur de Jésus battait toujours, qu'il était vivant !

18

18- Déguisé !

Le déguisement n’était opportun s il était ressuscité, mais l’était, par contre que s'il était vivant !

19

19- Il interdit que Marie-Madeleine le touche.

"Ne me touche pas" car ses blessures sont encore douloureuses, car il est vivant !

20

20- "Car je ne suis pas monté vers mon père".

Dans la langue juive, cela signifie : "Je ne suis pas encore mort", donc il est vivant !

21

21- Marie-Madeleine n'est pas effrayé lorsqu'elle le reconnaît.

Car elle a vu, … certains symptômes, qu'il était encore en vie avant. Elle avait donc devant elle Jésus, un Jésus bien vivant !

22

22- Les disciples sont effrayés lorsqu'ils voient Jésus dans la salle du repas.

Tout ce qu'ils savaient de la crucifixion était que ouï-dire. Aussi ils ne purent croire que Jésus était vivant !

23

23- Il dîna :

La nourriture ne lui était utile que s'il était vivant !

24

24- Il ne se montra jamais à ses ennemis.

Car il avait échappé à la mort de justesse. Il était vivant !

25

25- Il se déplaçait peu.

Car il n’était pas ressuscité, pas spiritualisé, mais bien vivant !

26

26- Témoignage des hommes autour de la tombe :

"Pourquoi cherchez-vous le vivant parmi les morts ?" (Luc 24-5). Car il n'est pas mort, il est vivant !

27

27- Témoignage des anges :

"... des anges ont déclaré qu'il était vivant" (Luc 24-23). Ils n’utilisèrent pas le mot ressuscité mais "vivant" !

28

28- Marie-Madeleine témoigne.

"... ils entendirent qu'il vivait et qu'elle l'avait vu, ils ne la crurent pas" (Marc 16-11). Marie-Madeleine se porte garante qu'il était vivant,  et non un spectre, un fantôme ou un esprit. Ils ne pouvaient croire que le Maître était vivant !

29

29- Le Docteur Primerose témoigne :

Que l'eau et le sang qui jaillirent ne soient que la conséquence du choc nerveux causé par les vaisseaux sanguins et causés par la flagellation ! Ce qui prouvait que Jésus était vivant!

30

30- Jésus avait prédit que son miracle serait celui de Jonas !

Selon le livre de Jonas, Jonas était vivant alors qu'il aurait du être mort. De même que Jésus était vivant alors qu'il aurait du être mort !

 

Note Ribaat: En Vérité, C’est Juda le traitre, qui fut crucifié, par ruse d’Allah, en lui donnant l’apparence de Jésus, les romains païens le crucifièrent en pensant que c’été « Jésus », ainsi Allah sauva Son Prophète bien aimé Jésus fils de Marie né sans père, Jésus n’est pas le fils d’Allah, juste un homme comme vous et moi ! Allah Sobhana wa Ta’la dit :

« Dis: ‹Il est Allah, Unique. Allah, Le Seul à être imploré pour ce que nous désirons. Il n'a jamais engendré, n'a pas été engendré non plus. Et nul n'est égal à Lui›. (Coran, Sourate 112, 4 versets)

« (Nous les avons maudits) à cause de leur rupture de l'engagement, leur mécréance aux révélations d'Allah, leur meurtre injustifié des prophètes, et leur parole: "Nos cœurs sont (enveloppés) et imperméables". En réalité, c'est Allah qui a scellé leurs cœurs à cause de leur mécréance, car ils ne croyaient que très peu. Et à cause de leur mécréance et de l'énorme calomnie qu'ils prononcent contre Marie, et à cause de leur parole: "Nous avons vraiment tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le Messager d'Allah"... Or, ils ne l'ont ni tué ni crucifié; mais ce n'était qu'un faux semblant! Et ceux qui ont discuté sur son sujet sont vraiment dans l'incertitude: ils n'en ont aucune connaissance certaine, ils ne font que suivre des conjectures et ils ne l'ont certainement pas tué, mais Allah l'a élevé vers Lui. Et Allah est Puissant et Sage. » (Saint Coran Sourate 4, verset 155 -158)

Ensuite voici un Extrait de l’Evangile de Barnabé Apôtre de Jésus Chapitre 221, Jésus a dit :« …Dieu m'a donné de vivre jusqu'aux approches de la fin du monde comme je vous l'ai dit. Je vous le dis, je ne suis pas mort; c'est le traître Judas qui est mort.Prenez garde, Satan fera tout pour vous tromper! Efforcez-vous donc d'être mes témoins partout en Israël et dans le monde entier, témoins de ce que vous avez entendu et vu!..."

L’Evangile de Barnabé Apôtre de Jésus intégrale et téléchargeable sur les sites :

http://islammedia.free.fr/livres/35_evangile_de_Barnabe.pdf

http://islammedia.free.fr/Pages/barnabe.html

http://www.aimer-jesus.com/evangile_barnabe_texte.php

Enfin malgré les Quartes Evangiles douteux concernant Jésus, Notre Frère Musulman Ahmed Deedat à réussi un coup de maitre, prouver la non-crucifixion de Jésus !

Allah fait éclater la Vérité sous vos yeux concernant Son Prophète Bien Aimé Jésus, sous différente manière quoi qu’en ai quelque répulsion les polythéistes et tyrans de la terre !

LOUANGE A ALLAH QUI SAUVA JESUS DU COMPLOT DES PHARISIENS ET ROMAINS

appelle-t-on-une-fleur-la-passiflore. Ce qui est surprenant c'est qu'elle est contestée par les musulmans, même si c'est une créature :

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20 janvier 2018

votre générosité pour karim

Mon blog c'est 257 visiteur et 335 page vue et même pas 1 euros de récompense , je vous le jure sur l'honneur.  Si vous trouvez que cette situation est intolérable vous pouvez posté un petit billet de 5 ou 10 euros a l'adresse suivante : BARADAT Karim 14 rue jules siegfried appartement 308 79000 NIORT/ FRANCE

4 janvier 2018

le notre père en araméen et en francais

pour le savoir il faut faire un copier coller de l'url suivante de you tube : https://www.youtube.com/watch?v=coOyAiR6t9Y&t=213s

4 janvier 2018

hypnose pour perdre du poids

vous pouvez soumettre a votre medecin cette technique pour maigrir . pour la pratiquer il faut faire un copier coller de l'url sur you tube qui est la suivante:   https://www.youtube.com/watch?v=GqqOeO-0E_I&t=30s

2 janvier 2018

guérison avec l'archange raphaël

Si cela ne dispense pas de fréquenter votre medecin, peu-être que raphaël vous a choisi, vous le sentirez dans votre coeur... en faisant un copier coller de l'url suivante :    https://www.youtube.com/watch?v=8-fmojRE0Po

2 janvier 2018

libérez-vous de votre karma

a travers cet enregistrement, on rencontre une paix que l'on a pas forcément soi-même, avantageux non ? pour cela il faut faire le copier coller de l'url suivante : https://www.youtube.com/watch?v=4gPq-jO6DME

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le blog de karim
  • religions et poésie ne font pas mauvais ménage, le prophète David le démontre dans les psaumes, le Coran aussi . Et puis, même, la poésie en général c'est cette étincelle propre a l'homme et a Son Créateur et aux chansons.
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